Elle imagine une mode de communication autour du répertoire des émotions. Grâce aux trames et aux gris optiques, elle invente un nouveau champ lexical plus exhaustif, plus précis que les mots, plus instinctif aussi.
Le dessin est pour elle un mode d’écriture spontané, chaque image est le sismogramme d’un moment, d’une journée, d’un passage.
Marlène utilise l’énergie des gris optiques, l’intensité des pointillés pour rendre perceptible l’émoi.